
Je cesse de croire tout ce que mes parents ou mes éducateurs ont dit de moi et sur moi lorsque j’étais enfant : « On ne te désire pas… Tu déranges… Tu as brisé notre liberté… Tu as un sale caractère… Tu n’es qu’une menteuse ! »…
Je cesse ce croire que je dois prendre des coups dans la vie pour mériter des miettes en retour.
Je cesse de laisser les autres me dicter mon comportement alors que je ne leur ai rien demandé.
Je cesse d’attendre que demain soit meilleur qu’aujourd’hui.
Je cesse de croire que si j’avais ceci ou cela de plus je me sentirais plus heureuse.
Je cesse d’attendre que les autres me fassent des compliments et apprends à m’en faire moi-même au minimum trois par jour.
Je cesse de juger les autres parce que je sais que je ne fais que de me juger de la même chose.
Je cesse d’attendre de la validation et de la reconnaissance des autres car je décide de me valider et de me reconnaître moi-même en me félicitant pour la plus petite comme la plus grande chose.
Je cesse de me comparer en moins que les autres et de croire qu’ils sont mieux que moi.
Je cesse d’en vouloir à mes parents pour ce qu’ils m’ont donné et préfère cultiver envers eux de la bienveillance, maintenant qu’à travers la façon dont j’ai agis moi-même avec mes propres enfants que j’ai compris qu’ils étaient juste au bout de leurs limites.
Je cesse de nier les maux de mon corps qui m’avertissent que je ne choisis par la meilleure attitude ou ne vais pas vers la meilleure direction.
Je cesse de me couper de la Source et m’y baigne à chaque instant qui passe.
Je cesse de croire que le temps passe vite et qu’il faut le rattraper.
Je vis maintenant pour Moi, en Moi, et cela me permet de laisser les autres en faire de même !
Je cesse de mourir et je choisis de… VIVRE ❤️
~Maud Albertini