Aucun de nous, en agissant seul, ne peut atteindre le succès.
de Nelson Mandela
En effet nous sommes le résultat de toutes nos rencontres…

Aucun de nous, en agissant seul, ne peut atteindre le succès.
de Nelson Mandela
En effet nous sommes le résultat de toutes nos rencontres…
Un rêve est un désir de notre âme…
Un désir doit être exprimé et réalisé… car il renferme une expérience importante pour la compréhension de soi-même…
J’exprime mes désirs… afin de mieux me connaitre…
Soyez les poètes de votre vie …
»Osez , chaque jour , mettre du bleu dans votre regard et de l’orange à vos doigts , des rires à votre gorge et surtout , surtout , une grande tendresse renouvelée dans chacun de vos gestes . »
Elena Martinez
Prologue
De même que la tristesse lève son voile sur les multiples facettes du bonheur, la mort donne son sens véritable à la vie. Le jour révèle à nos yeux aveuglés par la luminosité de nos songes, le mystère de la nuit. L’insipide dissimule derrière son apparente fadeur une à une les saveurs oubliées. L’abondance côtoie la famine incisive mettant bien en évidence son indécence. C’est ainsi que l’effroyable habite à deux pas du sublime. Et pourtant, l’amour reste la seule adresse possible pour l’amour. S’il est exact de penser que l’amour nous transforme en ce que nous aimons, alors je suis cette chaise sur laquelle tu vas t’assoir, je suis ce rivage que tu as foulé tant de fois du pied et sur lequel tu as gravé, pour une parcelle d’éternité, l’empreinte de tes pas. Je suis aussi une place restée vide dans ce cybercafé bondé et bruyant. Je suis tout autant cette poussière sous ton lit qu’une image oubliée dans l’un de tes nombreux ouvrages qui traînent épars sur ta table de chevet. Je suis cette bouchée de mangue bien juteuse qui émoustille chacune des papilles de ta langue dans une explosion de saveurs et de sensations multiples. Fruit sucré, gorgé de nectar et encore si plein de son été qui lentement dégouline des lèvres au menton et du menton ruisselle vers la gorge pour finalement s’épandre librement sur ta poitrine. Alors, si je suis un peu de tout ce que j’aime, irrémédiablement, je suis un peu de toi, Alba !
L’ego veut toujours être le boss – quelque soit le coût, à tout prix. Vous perdez la belle opportunité de la vie juste pour satisfaire une ombre, une notion non substantielle – la notion de l’ego : « Je suis quelqu’un. »Personne n’est quelqu’un. Nous sommes tous un; nous ne sommes pas séparés.
Osho
J’aime plus que tout, l’heure ou le soleil décline
et devant la nuit s’incline
Tour à tour maître ou esclave
de l’obscurité de l’une, de la clarté de l’autre.
Elena Martinez
En cette ère où l’homme devient une arme de destruction massive; prendre soin de son prochain me semble la seule véritable offensive.
© Texte, tous droits réservés, Elena Martinez
« L’amour est porteur d’une énergie extraordinaire, il peut dynamiser ou dynamiter n’importe quel projet de vie. »
Jacques Salomé
Tu as le droit de quitter n’importe quelle relation dans laquelle tu ne te retrouves pas. Tu as le droit de laisser n’importe quelle histoire dans laquelle tu ne t’aimes pas.
Tu as le droit de quitter une ville qui a affaiblit ta lumière au lieu de te rendre plus lumineux, tu as le droit de faire tes bagages et de repartir ailleurs et tu es autorisé à redéfinir le sens de ta vie.
Tu as le droit de quitter le travail que tu détestes même si le monde entier te dit de ne pas le faire et que tu as le droit de chercher quelque chose qui te fait attendre demain et jusqu’au reste de ta vie.
Tu as le droit de quitter quelqu’un que tu aimes s’il te traite mal, tu as le le droit de partir quand tu as essayé encore et encore mais que rien n’a changé.
Tu as le droit de laisser partir des amis toxiques, tu as le droit de t’entourer d’amour, et des gens qui t’encouragent et te nourrissent.
Tu as le droit de choisir le genre d’énergie dont tu as besoin dans ta vie.
Tu as le droit de te pardonner pour tes plus grandes et plus petites erreurs et tu as le droit d’être gentil avec toi-même, tu as le droit de te regarder dans le miroir et d’apprécier la personne que tu vois.
Tu as le droit de te libérer de tes propres attentes.
Nous avons parfois l’impression de partir comme une mauvaise chose ou de l’associer à abandonner ou abandonner, mais parfois partir est la meilleure chose que l’on puisse faire pour nous-même.
Partir nous permet de changer de direction, de recommencer, de redécouvrir nous-même et le monde.
Partir parfois nous évite de rester coincé au mauvais endroit avec les mauvaises personnes.
Le départ ouvre une nouvelle porte pour le changement, la croissance, les opportunités et la rédemption.
Vous avez toujours le choix de partir jusqu’à ce que vous trouviez ce qui donne un sens profond à votre vie et qui vous rend heureux.
Tu as même le droit de laisser le vieux derrière toi et de te réinventer.
~ Rania Naim
Je porte en mon corps
Vos tremblements de terre
Vos raz de marée
Vos tempêtes qui vocifèrent
Vos tsunamis et giboulées
Et tant de beautés éphémères
Que votre cupidité dévore
Je porte en mon corps
Tous vos silences
Tous vos éclats de voix
Toutes vos absences
Blessures sur ma foi
Encagée de votre indifférence
Et tant de pleurs étouffés et de rêves
Dévastés par trop d’efforts
Je porte en mon corps
Vos envies et trahisons
Vos blessures et morsures
Vos désirs et meurtrissures
Vos coups de poignard et coups du sort
Moi qui voulais escalader l’aube
Jusqu’à son plus haut sommet
Avant que dans la nuit sous mes pieds
Ma vie se dérobe
© Texte, tous droits réservés, Elena Martinez
© Photo, tous droits réservés, Kyle Thompson
« Ce n’est pas parce que c’est impalpable que ça n’existe pas.
Ce n’est pas parce que c’est subtil que ça ne fait pas mal.
Ce n’est pas parce que c’est compliqué que c’est impossible à comprendre.
Ce n’est parce que les états d’âme sont tout ça à la fois, et qu’ils se dérobent à nous, que nous allons renoncer à les poursuivre… »
Je suis cette étoile suspendue au firmament de ta pensée.
Une image magnifiée par certain, mais aussi un peu de poussière que l’on foule distraitement du pied.
Une particule du néant qui se réinvente et reprend vie par la magie d’un simple regard.
© Tous droits réservés, Elena Martinez
Pour toi Billie Laura
Une puce d’eau frétille
Sur l’onde claire
Parfaite danse de l’éphémère
Tes heures
Me naviguent ailleurs
À demain du bonheur
E.Martinez
Écris!
Écris, puisque le temps est un filou
Que dès l’aube, il nous prend tout
Puisque la vie sur Terre est si brève
Et qu’on porte nos rêves à bout de bras
Écris, puisque chaque nuit imprime sa fièvre
Sur nos fronts brûlants d’émois
Écris, puisque le silence s’alite
Entre les draps virtuels, entre les lignes
Et qu’un matin à un autre fera suite
Pour en oublier nos heures indignes
Écris, puisqu’on se trahit souvent par trop de mots
Tous ces maux tatoués à même la peau
Et si l’horizon et le temps sont propices (refrain)
Aux vers livrés sans artifices
Au cœur de la nuit ou en plein jour
Au nom de l’espoir et de l’amour
Écris!
Écris, puisque tu connais si bien la manière
De soulager nos peines par tes lumières
Nos lendemains de solitude passagère
De nuits filantes et éphémères
Écris, puisque tu as encore tant à nous dire
Et que les archets du désespoir
Entonnent les harmonies bleutées du soir
Écris, comme s’il ne restait plus que toi
Pour témoigner de notre désarroi
Et de tous nos éclairs de joie
Que tu dérides sous tes doigts
Écris, sans te poser tant de questions
Sur ce que les autres alentours penseront
Et si l’horizon et le temps sont propices (refrain)
Aux vers livrés sans artifices
Au cœur de la nuit ou en plein jour
Au nom de l’espoir et de l’amour
Écris!
©, Texte tous droits réservés, Elena Martinez
©, Footnotes, Acrylique, techniques mixtes, 20×20, Marie-Eve Roy, vendu
J’ai vu des enfants de toutes couleurs
Dessiner à la craie blanche
Leurs jolis prénoms
Sur l’asphalte charbonneux des villes
J’ai vu des guerres mensongères
En décimer tout autant
Que la pluie bleue lavant
Toutes leurs traces éparses
Sur les noirs trottoirs
Du désespoir…
Parfois la vue me fait mal
Suis-je normale?
« Rien n’est plus intime que deux pensées qui se touchent. »
« Ce n’est que lorsqu’on se connait vraiment soi-même qu’on peut réellement apprécier les autres sans avoir peur de leurs zones d’ombres puisqu’on aura apprivoisé les nôtres. »
Anne Boyer